Pourquoi mettre en place un logiciel de gestion d’entrepôt (WMS) ?

1. Optimiser la gestion des stocks

Un WMS vous offre une vision en temps réel des niveaux de stock, limitant les ruptures et les surstocks.

• Vue temps réel des quantités par dépôt/emplacement (pick/stock/tampon/retour).

• Règles de réappro auto (mini/alerte/sécurité) + suggestions d’achats.

• Méthodes de rotation (FIFO/LIFO/FEFO, DLC) et comptages tournants (cycle count) sans bloquer l’activité.

• Stratégies de slotting : emplacement optimal selon poids/volume/vitesse (ABC).

• KPI : taux de rotation, couverture de stock (jours), rupture, valeur immobilisée.
  Exemple : avec EasyLogistic relié à Sage 100c, le stock article/composé est synchronisé en continu : le WMS propose des réappros pick-face quand le seuil est atteint et alimente la commande d’achat côté gestion co.

2. Réduire les erreurs

Grâce au scannage codes-barres et QR codes, le risque d’erreurs de préparation chute considérablement.

• Lecture code-barres/QR/Datamatrix sur réception, préparation, contrôle & expédition.

• Contrôles métiers : n° de lot/série obligatoire, unité de mesure, équivalences EAN, poids.

• Guidage pas-à-pas (picking dirigé) + scan de confirmation à chaque étape.

• Contrôle final (scan colis/BL) et étiquetage transport (SSCC, Zebra/Toshiba) sans ressaisie.

• KPI : erreurs/1000 lignes préparées, retours pour non-conformité, litiges transport.
  Exemple : GestMaker exige le scan du lot au prélèvement ; si le lot ne matche pas la commande, l’opérateur est bloqué → erreurs quasi nulles.

3. Gagner en productivité

Moins de déplacements inutiles, automatisation de certaines tâches répétitives et préparation de commandes plus rapide.

• Itinéraires optimisés (multi-commandes, cluster/batch picking, wave picking).

• Automatisation : génération d’étiquettes, documents, mails transport, EDI.

• Gestion des ressources : équilibrage des tâches, priorités, tableaux d’avancement.

• Préparation en 1, 2 ou 3 étapes (prélèvement → contrôle → colisage), cross-docking.

• KPI : lignes/heure/opérateur, délai de cycle (réception→expédition), coût par colis.
  Exemple : en passant d’un picking “commande par commande” à du batch picking dans SGE by Toshiba, un client B2B a réduit de 25–35% ses km parcourus en allée.

4. Améliorer la traçabilité

Suivi des lots, conformité réglementaire, réduction des litiges : un atout clé pour les secteurs sensibles comme l’agroalimentaire ou la santé.

• Traçabilité amont–aval : réception → emplacements → ordre de prélèvement → lot/numéro de série → client.

• Conformité secteurs : FEFO/DLC (agro), n° de série/UDI (santé), ADR (chimie).

• Rappels ciblés : retrouver en 2 clics toutes les expéditions touchées par un lot.

• Horodatage & piste d’audit (qui, quoi, où, quand).

• KPI : temps moyen de recherche lot, % lots tracés, dossiers litiges clos.
  Exemple : EasyLogistic enregistre l’ID opérateur et l’emplacement de chaque mouvement ; en cas de non-conformité fournisseur, le lot et les clients livrés sont identifiés instantanément.

5. Intégration avec la gestion commerciale

Un bon WMS se connecte directement à vos logiciels ERP/gestion commerciale (comme Sage 100c) pour une vision globale et un pilotage unifié.

• Sync temps réel avec Sage 100c/EBP : articles, tarifs, commandes/BL/retours, statuts.

• Zéro double saisie : le WMS consomme les commandes, renvoie préparations/BL, met à jour les stocks et déclenche la facture côté ERP.

• Référentiels partagés : unités, conditionnements, EAN, nomenclatures (kits/BOM).

• Transport & E-commerce : connecteurs TMS, marketplaces, WCSI/EDI.

• KPI : délai OTC (order-to-cash), exactitude des stocks ERP vs WMS, taux d’automatisation.
  Exemple : avec EasyLogistic ↔ Sage 100c, la commande validée passe en WMS ; une fois préparée/contrôlée, le BL remonte automatiquement et la facturation peut partir sans action manuelle.